“La mission que Decathlon s’est donnée c’est d’apporter durablement l’accès au plaisir et aux bienfaits de la pratique sportive au plus grand nombre”, résume Estelle Verdier, directrice générale de Decathlon Travel. Pour parfaire cette mission, proposer des équipements sportifs à la vente n’était pas suffisant. Alors, il y a un peu moins de deux ans, la marque a élargi le champ de ses activités en se lançant dans les voyages actifs.
“Quoi de mieux pour inspirer les gens à pratiquer un sport que de le rendre ludique via le côté découverte ?” Je vais faire du vélo, pas en ville mais plutôt au cœur d’un magnifique paysage des Vosges ou de Bourgogne. Je me lance dans la marche à pied, mais avec plus d’entrain dans les Alpes ou les Cévennes, avec des ânes qui vont m’aider à porter mes enfants, mes bagages. La volonté est véritablement de rendre le sport joyeux, facile et convivial.
Sur la plateforme de réservation de voyages sportifs, il y a le choix entre 25 disciplines, parmi lesquelles la randonnée, le trek, les séjours à vélo, le bushcraft, le golf, le yoga, le kitesurf ou encore la plongée. Il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux. Decathlon Travel porte d’ailleurs une attention particulière à donner envie aux débutants tout comme aux initiés. Les propositions pour les sportifs confirmés ne représentent que 10% du catalogue.
“On veut vraiment faciliter la pratique sportive pour des gens qui n’ont pas l’habitude de ce type de voyages. On veut faire tomber les barrières qui font que beaucoup de gens vont vers la facilité quand il s’agit de voyager, vont dans un centre où ils seront très sédentaires. On veut leur montrer que d’avoir des vacances actives, c’est possible, facile et abordable”, insiste Estelle Verdier.
Un type de vacances qui facilite aussi la rencontre, maître-mot chez Decathlon Travel. Bien qu’il soit possible de partir avec un groupe déjà constitué, il est aussi possible de partir seul et de se joindre ainsi à d’autres voyageurs. “Le sport est aussi un moyen de rencontrer des gens, d’en apprendre plus sur des territoires avec un guide parfois présent sur les séjours. On pense vraiment que le voyage et la pratique sportive sont un moyen de s’ouvrir au monde, aux autres et de se découvrir soi-même.”
Privilégier la découverte des territoires locaux
Dans la même veine, la plateforme de réservation de voyages essaie de proposer les prix les plus abordables possibles, permettant au plus grand nombre de vivre l’aventure sans avoir forcément un gros budget. Le premier prix de séjours débute à 40 euros. Toute une offre à moins de 350 euros est particulièrement mise en avant.
Deux portes d’entrée pour trouver le séjour adapté : par sport ou par destination. On trouvera aussi des inspirations selon la saison. À chaque fois, on peut affiner sa liste d’options, avec des filtres comme “en famille” ou “voyage solidaire”, afin de trouver ce qui correspond le plus exactement à ce que l’on souhaite.
Des voyages que Decathlon Travel souhaite le plus responsables possibles. Une calculette carbone a été créée afin de calculer l’empreinte des hébergements, transports, activités sportives et équipements. Si la note s’avère trop élevée, si le voyage est trop émetteur de CO2, il est retiré de la plateforme. Si le score peut être amélioré, un travail est lancé avec les partenaires pour enlever des éléments particulièrement polluants dans la proposition, dans l’optique de progresser pour réduire au maximum l’empreinte négative sur l’environnement et maximiser la connexion à la nature. “Découvrir la nature, c’est aussi un moyen de l’aimer et ensuite d’avoir envie de la protéger”, précise Estelle Verdier.
Plus de la moitié des séjours proposés sont en France. On en trouve aussi en Europe, mais les nombreuses destinations sont accessibles en train. L’objectif reste avant tout de montrer la diversité de ce que l’on peut trouver sur notre propre territoire. “On veut inspirer les gens à découvrir en priorité les territoires locaux et régionaux. Si on veut faire le voyage de sa vie une fois en allant un peu plus loin c’est possible, mais il faut privilégier le voyage local et régional.”