« on s'appelle La Virgule parce qu'on propose une deuxième vie, pas un point final » explique le co-gérant de l'entreprise nordiste. Dans les ateliers de Calais, dans les petits mains des employés de l'ESAT, circulent des tas de nouvelles matières premières. Parmi elles, les toiles de tente ou de kayak. Habituellement, si l'on ne peut pas réparer le produit, les fabricants et particuliers ont le reflex de jeter leur embarcation qui sera donc enterrée ou brûlée. Depuis deux ans, La Virgule propose une alternative à cette surconsommation. D'un kayak endommagé et un tapis de yoga, elle en fait des cas à dos colorés, solides et imperméables, ainsi que des sacoches de vélo. C'est ainsi que la rédaction d'Airzen Radio en a pris connaissance : lors de l'interview de Benjamin de Molliens. L'aventurier s'est équipé de ces produits pour garantir un voyage zéro matériel neuf. Il est maintenant ambassadeur de la marque lilloise.