L’école qui nous appelle pendant que nous sommes au travail pour nous dire que la petite dernière à de la fièvre. Le baby-sitter habituel qui vous prévient à la dernière minute qu’aujourd’hui non, il ne pourra pas faire la sortie de l’école.
Deux exemples de situations stressantes mais tellement banales qu’elles nous apparaissent normales. Comme s’il était normal de stresser. Nous ne devrions pas avoir à choisir entre notre vie de famille et notre vie professionnelle.
Une femme ne devrait pas à se sentir obligée de quitter son entreprise lorsqu’elle devient mère. Ni un homme lorsqu’il devient père. Pourtant, cela arrive encore trop souvent.
Mais, bien accompagné, il est possible de concilier les deux, de ne pas se sentir coupable soit de rester un peu plus longtemps pour terminer son travail, soit de partir plus tôt pour aller chercher le dernier à l’école. Cela permettra et à l’entreprise de garder ses talents, et aux talents de rester.
Il existe pour cela des outils concrets qui facilitent le dialogue, laissent des marges de manœuvre aux encadrants comme aux encadrés. C’est ce que propose Julie Renauld Millet lors de ces ateliers.