Bien plus qu’un simple moment sportif. C’est une immersion dans un univers où handicap et performance se mêlent de manière spectaculaire. Nous avons assisté à un entraînement du Toulouse Iron Club, équipe d’élite en basket-fauteuil.
En fonction du handicap, vous allez positionner les joueurs dans l’équipe”, explique Jean-Pierre Louradour, président du club. Cette approche tactique repose sur un système de classification des joueurs. Mais au-delà de la stratégie, sur le parquet, c’est l’humain qui prime.
Ce que j’aime dans ce sport, c’est le contact, le jeu de ballon, mais aussi l’inclusion. Ici, pas de différences. Le handicap est une force”, confie Théo, le plus jeune joueur de l’équipe.
Si l’impact des Jeux paralympiques sur la visibilité du parasport est désormais palpable, il reste encore du chemin à parcourir, notamment en matière de financement.
Il est d’ailleurs possible de soutenir un club d’handisport, via du mécénat, des dons, mais aussi la sensibilisation au handicap. “Nous allons dans les entreprises pour en parler et elles peuvent déduire cette intervention de leur quota de personnes en situation de handicap”, explique le président du club.