En novembre 2021, Annie Lalalove sort son album The Boom Boom Schack, en référence aux battements du cœur. Lorsque l’on écoute ses 15 titres, on ne peut qu’avoir le sourire et un sentiment de bien-être. Sa voix associée à la guitare nous installe dans une ambiance chaleureuse. C’est justement la volonté de l’artiste lorsqu’elle compose.
« Alors de mon côté, ça part toujours de ukulélé. Puis, il y a mon compagnon qui m’accompagne à la guitare pour certaines parties, explique-t-elle. J’aime cet instrument parce qu’il est boisé. Il y a comme un retour aux sources, à tout ce qu’il y a de plus pure. »
L’amour en musique
Dans cet album, Annie Lalalove chante clairement l’amour en toute simplicité, sur des sonorités pop et reggae, car c’est ce qui l’inspire. D’ailleurs son nom de scène s’inspire du film Lalaland.
« J’ai besoin de me guérir en écrivant mes propres chansons sur mes histoires passées, mes histoires d’amour. C’est ma façon à moi de les rendre plus positives parfois. Et l’amour, c’est aussi un thème universel tellement important dans la vie. J’ai envie d’envoyer des messages d’amour. »
Des inspirations hétéroclites
Ça fait 14 ans que l’artiste évolue dans le monde musical, auquel elle n’était pas destinée. « Mais j’ai toujours aimé le spectacle, la danse, le piano. Le chant est venu plus tard. C’est ce quelque chose qui me fait tellement du bien. Je n’ai pas pu faire autre chose que ça a la fin de mes études, » confie-t-elle.
Quant à ses inspirations, il y a ce qu’elle écoutait avec sa mère : Joséphine Baker, elle fait une reprise de « J’ai deux amours », Serge Gainsbourg, les Beatles ; et de son côté : The Jackson Five, Prince. « J’ai dont fait un mélange de tout ça pour faire ma musique à moi », conclut-elle avec le sourire.