À l’origine de TeleCoop, un constat simple : les opérateurs mobiles ne défendent pas l’intérêt général dans leur développement et leurs offres. Pour faire simple, le client et les questions écologiques sont souvent relégués au second plan, loin derrière la recherche de profits. Pourtant, sur le plan écologique, le numérique représente aujourd’hui 4% des gaz à effet de serre émis au niveau mondial. Le chiffre pourrait même doubler et passer à 8% d’ici à 2025. Il était donc important d’agir. C’est justement un des objectifs de TeleCoop.
« Pour répondre aux enjeux que nous connaissons tous maintenant, il nous paraissait essentiel de proposer un nouveau modèle d’opérateur télécom, tourné vers l’intérêt général et qui intègre directement les questions environnementales et sociales au cœur du modèle économique. Ce nouveau modèle, nous l’avons pensé comme étant une coopérative, et en particulier une Société Coopérative d’Intérêt Collectif. C’est une entreprise qui appartient à ses sociétaires qui votent dans la structure sur le principe d’une personne est égale à une voix. L’objectif est de partager le pouvoir et la richesse de manière équitable et démocratique », explique Marion Graeffly, l’une des fondatrices de Telecoop.
Une aide à la réparation
TeleCoop propose des forfaits mobiles sans engagement, qui incitent à reprendre la main sur sa consommation mobile. Les forfaits facturent au plus juste les abonnés en fonction de leur consommation réelle de données mobiles.
De plus, TeleCoop propose une aide financière à la réparation de téléphones à tous ses abonnés. Une première. L’objectif affiché est ainsi de réduire l’impact environnemental du numérique de manière globale et de permettre à chacun de reprendre la main sur le temps passé sur son mobile. Le tout, sans penser au profit avant tout et en mettant le client au cœur du projet.
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