Martine Pelloux est passionnée de pierres depuis de nombreuses années. C’est grâce à son frère qu’elle commence à s’intéresser à elles. Ils voyagent en famille à travers le monde pour trouver ces trésors. Elle prend alors l’habitude de tenir des carnets de voyages dans lesquels elle note ce qu’elle voit, partage ses rencontres mais aussi ses découvertes.
« Je m’initie aux pierres qui me font du bien » (éditions Leduc), son nouveau livre, permet de découvrir différentes pierres, leurs noms mais aussi les vertus qu’on leur prête.
AirZen Radio. Comment choisir une pierre qui nous correspond ?
Martine Pelloux. Pour moi, la meilleure façon quand on se fait confiance c’est d’aller dans un magasin. On est alors attiré par une forme ou une couleur. On demande ensuite au vendeur quelle est cette pierre et sa signification. On se rend souvent compte que l’on n’a pas choisi cette pierre par hasard et que c’est une pierre qui répond à nos besoins.
Sinon, il est possible d’arriver avec une idée précise et de demander, par exemple, une pierre qui pourrait nous aider à mieux dormir par exemple.
Quelles sont les pierres les plus souvent demandées ?
Martine Pelloux. C’est vrai que la pierre que l’on conseille contre les problèmes de stress ou de sommeil c’est l’améthyste. Dans l’Antiquité, on lui attribuait des pouvoirs surnaturels, elle pouvait être utilisée comme un talisman. Moi, je suis restée très soft au niveau des propriétés des pierres. Je ne suis pas dans le New Age ou le médical. Je pense que les pierres peuvent être des aides ou des soutiens. Mais il n’y a pas de miracle niveau santé avec les pierres.
Quelle pierre peut encourager la bonne humeur ?
Martine Pelloux. Il y a une pierre que l’on appelle la pierre du soleil. C’est le nom qu’on lui a attribué pour qu’il soit plus simple que son nom scientifique. Cette pierre pourrait aider à combattre la tristesse et la déprime. Encore une fois, je parle au conditionnel car rien n’a encore été prouvé. Même si j’ai souvent de bons retours de la part des clients de mon magasin.
