À 18 ans, Brigitte fait la connaissance de Charlotte Calmis, « sa mère spirituelle », qui la met sur le chemin de la spiritualité et d’elle-même.
Elle va alors découvrir de nombreux maîtres de différentes traditions, parmi lesquels madame Guyon – qui lui montre l’importance de la prière du cœur – et Sri Aurobindo, qui lui font comprendre que « la conscience est une aventure » et qu’il n’existe pas de dualité entre l’esprit et la matière.
>>>Téléchargez l'application d'AirZen
Elle s’intéresse également à la tradition bouddhiste, à travers la pratique du zazen, selon l’école de Taisen Deshimaru, et fait partie des groupes Gurdjieff pendant un temps, où elle travaille la « présence à soi » avec Michel de Salzmann.
Convaincue que la psychologique et le spirituel sont liés, elle suit une analyse pendant treize ans pour « clarifier les premières couches de l’inconscient ». Parallèlement à cela, elle poursuit sa quête de l’invisible à travers l’art.
Le chamanisme entre dans sa vie quand elle a 49 ans, sans qu’elle s’y attende, grâce à la lecture des livres de Corine Sombrun et Lætitia Merli. Ressentant l’appel du chamanisme, Brigitte part un an plus tard à la rencontre de Enkhtuya, une chamane mongole, qui lui confirme son don de chamane et l’initie aux cérémonies et rites mongoles.
>>>Téléchargez l'application d'AirZen
À partir de là, forte de tous les outils qu’elle a acquis, elle trouve « le sens de son service » et sa vie change de direction. Elle pratique alors le chamanisme en France et en Mongolie, où elle retourne chaque année pour parfaire son initiation et se relier à « la source » que représente Enkhtuya, « sa sœur spirituelle ».
« Ciel blanc, ciel noir », de Brigitte Pietrzak, Mama Editions, 25 €.