Au Harry’s Bar, dans le deuxième arrondissement de Paris, Franz-Arthur MacElhone, arrière-petit-fils de Harry MacElhone, a pour volonté de conserver l’esprit des années 1920 pour les amateurs de cocktails, mais aussi d’échanger dans cette bonne ambiance avec les clients et de s’adapter au goût de chacun.
Sentant un vent de prohibition venir à New-York, l’un des premiers propriétaires de bar, le jockey américain Tod Sloan, a décidé de déménager, littéralement, le comptoir. Planche par planche, le bar s’installe à Paris pour faire découvrir à ses habitants la nouveauté qui allait faire fureur : le cocktail. Voulant s’entourer des meilleurs, il appelle un barman écossais du nom de Harry MacElhone, rue Daunou.
Le Flies bar Club
“Traditionnellement inventif”. C’est la ligne que veut maintenir Franz-Arthur. Une initiative qui a perduré avec les membres d’une fraternité. Créé par l’ancêtre de Franz-Arthur, le club des Bar Flies se veut amateur des meilleures liqueurs, mais toujours dans le respect de l’autre.
“Grâce aux pins du club, on peut remarquer les autres membres partout dans le monde et rigolé ensemble”, explique le propriétaire du bar. On compte dans ce club très privilégié l’actuel maire de Cannes, le prince de Monaco, Jack Carlson du Rowing Blazers, …
Plus de 400 cocktails sont à découvrir au Harry’s Bar, 5 rue Daunou à Paris.