Tout commence par une belle journée d’avril, premier jour du nouvel agent de sécurité de la cathédrale. Sa relève étant malade, il devra rester às on poste toute la journée.
Une première alarme retentit. Après une mauvaise lecture du lieu de l’incendie présumé, l’alarme, qui se manifeste régulièrement sans raison, sera arrêtée et la messe qui avait lieu en plein cœur de la cathédrale sera poursuivie.
La catastrophe commence. De longues minutes passent avant que la véritable alerte ne soit transmise aux pompiers qui, malgré leur réactivité, se retrouvent coincés entre les nombreux bouchons et les rues étroites de la capitale en travaux.
Vient ensuite le problème de la vétusté des canalisations des lieux et les nombreuses portes fermées à clés qui ralentissent le courageux travail des pompiers mobilisés qui, affublés de leur important équipement, feront sans arrêt des aller-retour dans les 300 marches étroites de l’édifice en feu.
Dans “Notre-Dame brûle”, Jean-Jacques Annaud a reproduit fidèlement les événements avec des effets incroyables et des décors à couper le souffle en alternant images d’archives et reconstitution impressionnante, notamment lors de l’effondrement de la flèche.
Notre-Dame est éternelle.