Les meilleurs laboratoires de recherche se trouvent dans les pays anglo-saxons. Heureusement pas tous. La suisse offre possibilités et moyens aux chercheurs à un niveau suffisamment élevé. Nicolas s’y est donc installé pour poursuivre ses recherches et conforter sa situation.
A écouter Nicolas, on a l’impression que son parcours scolaire est dû davantage à sa curiosité qu’à son talent. Il est modeste. Sa passion l’amènera au-delà du doctorat. Comme il l’explique très bien, avant d’occuper un poste académique (à condition de réussir le concours), il faut enrichir sa pratique, ce qui se fait en allant agiter ses neurones dans d’autres laboratoires, la plupart à l’étranger.
La particularité de Nicolas c’est que quoi que étudiant, il a une famille. Se déplacer c’est déplacer trois personnes, ce qui restreint les choix lorsque l’on pose dès le départ des conditions d’éloignement et de culture. La Suisse offre des possibilités élevées, ce sera donc son point de chute. Ce changement n’est pourtant qu’un point de départ, d’autres thèmes de recherche se dessinent, son avenir s’éclaire à mesure qu’il étaye ses recherches.
Si ce changement de vie s’avère un passage obligé choisi, il va en induire d’autres à venir. Le parcours de Nicolas ressemble à ses recherches : chaque réponse dévoile de nouvelles portes. Je vous invite à découvrir un homme passionné qui évolue dans l’élite et aborde les incertitudes du chemin avec confiance.