Son nom latin : Boswellia carterii
Un petit arbre, pas si petit que ça ! Environ 3 mètres de haut. Il réclame une certaine patience car pas moins de 10 ans sont nécessaires pour avoir un rendement suffisant. S’il a été l’objet de nombreuses fortunes, il est parfois compliqué de s’approvisionner en raison des conflits autour de ces zones de production. La récolte se fait sous forme d’incision, afin de récupérer la résine, avant que l’arbre ne cicatrise.
Comme de nombreuses huiles, elle est anti-infectieuse et anti-sceptique lorsqu’elle est diffusée dans l’atmosphère. C’est d’ailleurs un de ses points communs avec certaines huiles de sapin. Pour renforcer son efficacité en diffusion pour assainir, on peut l’associer avec de l’eucalyptus ou encore du lavandin. Avec un roll-on, en introduisant de l’huile végétale et quelques gouttes d’encens vous obtiendrez de quoi vous aider à cicatriser. Elle vous aide aussi à rétablir l’équilibre nerveux, il est ainsi possible de se faire un petit stick inhalateur qui vous accompagnera vers le retour à la sérénité.
C’est une alliée pour accompagner des traitements difficiles par exemples la chimiothérapie mais attention, contrairement à ce que certains affirment, elle n’a pas de pouvoir miracle anti-cancer. Lorsque vous l’utilisez, il ne faut jamais l’appliquer directement sur la peau et les muqueuses. En diffusion, elle est à utiliser avec parcimonie.