La luminothérapie peut alors être utilisée. On en parle avec Clément Guillet, médecin du sommeil et responsable du laboratoire d’exploration du sommeil à l’hôpital la Chartreuse à Dijon.
Lorsque l’on passe aux saisons automnale et hivernale on s’attend aussi à ce que le soleil se fasse plus rare. En conséquence de ce manque en capital lumineux, il peut survenir une dépression saisonnière, des troubles au niveau de notre horloge biologique interne… du sommeil et des changements d’humeur entre autres. Dans ces cas-là, la luminothérapie peut-être une alternative pour nous aider à réguler notre cycle. Elle joue un rôle sur la mélatonine, qui est “notre chef d’orchestre de notre rythme biologique” explique Clément Guillet, médecin du sommeil à l’hôpital La Chartreuse à Dijon. Les séances de 30-45 minutes se déroulent le matin.