Julie le dit elle-même, à 29 ans, elle avait tout pour être heureuse : un compagnon, des enfants, la santé, une maison, un travail et pourtant… Elle n’arrivait pas à sortir de son mal-être. C’est sa fille qui lui permet d’avoir le déclic et lui donne envie d’emprunter la voie du développement personnel.
La crise de la trentaine
« 2011 a été une année charnière pour moi. J’ai quitté mon emploi et fêté mes 30 ans. Beaucoup de gens font la crise de la quarantaine, moi, j’ai visiblement fait celle de la trentaine. J’ai traversé une période de remise en question sur ce que j’allais faire de ma vie. Ma fille avait trois ans et je me suis rendu compte que ma négativité avait un impact sur elle. C’est donc elle qui m’a motivée à changer », explique Julie.
Julie Saba commence alors à s’intéresser au développement personnel. Elle lit des livres, découvre la psychologie positive. « Mes premières lectures m’ont montré que je pouvais changer d’état d’esprit. C’était vraiment encourageant, car à l’époque, j’étais un peu fataliste, je ne pensais pas pouvoir évoluer. Et puis j’ai découvert que l’on pouvait apprendre à être plus heureux. C’est comme ça que j’ai commencé à changer », ajoute l’auteure.
Une pessimiste repentie
Julie expérimente, continue ses lectures, rencontre des professionnels. Petit à petit, pas à pas, elle avance et se considère aujourd’hui comme une « pessimiste repentie ».
Vient ensuite l’envie de transmettre aux autres. Elle décide donc de créer un blog : être optimiste. Julie y partage sa vision du bonheur, mais aussi les différents outils qui peuvent permettre de s’en approcher. Dans son livre « Tout le monde a droit au bonheur », Julie dévoile le plan d’actions simple et concret qui lui a permis de devenir plus heureuse et épanouie. Elle tient à préciser qu’il n’y a pas de recettes miracles, ni d’injonction au bonheur. Ce livre permet plutôt d’accompagner la lectrice ou le lecteur dans sa transformation vers le bonheur.
En savoir plus sur le livre : https://etre-optimiste.fr/livre-bonheur/