Son nom botanique : Pogostemon cablin
Elle n’est en tout cas pas discrète. Des feuilles larges ornées de fleurs blanches en épi, qui ont pour particularité d’être non odorantes à l’état naturel. Contrairement à beaucoup d’huiles, sa culture est plus simple car elle peut se récolter environ tous les trois mois, même si une fois ramassées, il faut s’armer d’un peu de patience pour laisser à la fois sécher et fermenter avant dystilation.
Une fois ce processus terminé, place au voyage sensoriel qu’elle offre. Sa discrétion olfactive se transforme alors en un voyage oriental.
Utile pour l’acné, les crevasses ou encore le psoriasis, elle peut s’appliquer en voie cutanée à condition d’être impérativement diluée dans une huile végétale. Ce bon tonifiant du retour veineux peut alléger des jambes lourdes et autres maux.
Comme toutes les huiles essentielles, à utiliser avec précaution et encadré par un professionnel.