Jusqu’à la fin de des années 60, certains médecins l’utilisaient dans les campagnes pour leurs patients. L’orphelinat Saint-Vincent de Paul à Paris avaient même des écuries attenantes, afin de se servir du lait de jument pour nourrir les bébés.
Aujourd’hui, ce lait coute cher car il demande beaucoup de patience, de compétences et de bienveillance pour pouvoir le collecter.
C’est la cas de la famille Vogel , qui, depuis 3 générations élève des juments de race Haflinger
Guillaume Vogel au micro d’AirZen Radio : « nos juments vivent en liberté, les poulains sont sevrés à 8 mois, pour que la mère reste avec son poulain le plus tardivement possible »
Au domaine de la Voie Lactée, en plein cœur du parc Régional des Vosges du Nord, le bien-être animal est au cœur des préoccupations depuis 30 ans.
Le lait de jument est proposé sous deux formes : surgelé et lyophilisé pour en préserver toutes les qualités.
https://lavoielactee.fr/