Chaque année, c’est la même chose. Le 20 mars, pendant une journée, on célèbre le bonheur et le bien-être. Une initiative que l’on doit à l’Organisation des Nations Unies (ONU), qui a instauré cette journée en 2013. L’idée ? Montrer que le bonheur et le bien-être sont deux aspirations à caractère universel, partout dans le monde. Et surtout, qu’il importe de les prendre en compte dans le programme d’action publique.
Une récente étude espagnole sur le bonheur vient par ailleurs de sortir. On y apprend notamment que, selon les Européens âgés entre 50 et 80 ans, c’est entre 30 et 34 ans qu’on est le plus heureux. Les travaux ont aussi montré que les périodes les moins agréables de la vie se situeraient entre 10 et 14 ans, et au-delà de 70 ans. Notez que les participants à l’étude ont souvent indiqué que la période la plus joyeuse de leur vie était intimement liée à l’arrivée d’une certaine stabilité personnelle et professionnelle.
Pour parler bonheur et bien-être, on a donc demandé à la psychanalyste Catherine Grangeard de nous en dire un peu plus. Déjà, de nous parler de cette journée mondiale : pourquoi est-elle si importante ? On a ensuite parlé bonheur, bien-être et plaisir. On a terminé par une question essentielle : comment faire pour être heureux ?
Pour aller plus loin > Le 4 mars, c’est la journée mondiale de lutte contre l’obésité