Chaque année, plus de 20% des Français mangent de la pastèque. De par ses couleurs – rouge à l’intérieur, verte tigrée à l’extérieur et agrémentée de petits pépins bien noirs dans sa chaire -, elle est devenue, dans le monde entier, une véritable icône de la culture mainstream que l’on peut retrouver aussi sur des affiches, des t-shirts, des fonds d’écran et autres coques de téléphone… La pastèque, c’est le fruit fun et sympa, définitivement ancrée ans la culture populaire mondiale.
Si, en Afrique comme en France, on va la déguster le plus souvent dans son plus simple appareil en belles tranches fraîches, plusieurs pays dans le monde vont l’utiliser de différentes manières. Aux États-Unis, elle va, comme nos cornichons, devenir « pickles » ; en Russie, elle est souvent associée à la bière et va même entrer parfois dans sa composition.
Dans des bocaux
Mais savez-vous qu’au Japon, on va faire pousser les pastèques dans des bocaux carrés afin de le leur donner cette même forme pour ainsi, entre autres, faciliter leur rangement ?
Bonne pour la santé et pleine d’eau (92%, rien que ça…), elle est riche en vitamines B et C, potassium et magnésium. Notre « Citrullus lanatus » peut être ronde ou ovale et peut atteindre 70 cm de longueur et peser jusqu’à 30 kg. On va donc s’en payer une bonne tranche !
Cette semaine, après le fenouil, nous sommes retournés chez le chef Stéphane Pitré dans son restaurant Louis, dans le 9e arrondissement de Paris et nous lui avons demandé trois recettes : une sucrée, une salée et une astuce antigaspi qui va réellement vous surprendre !