C’est au Dr George Joseph Goodheart (1918- 2008), chiropracteur américain dans les années 60, que l’on doit la kinésiologie appliquée. Il a établi une relation entre un muscle faible et un déséquilibre physique ou psychologique. Grâce à une batterie de tests musculaires, les organes en souffrance sont identifiés et peuvent ainsi être traités. Ces tests associent des techniques occidentales traditionnelles à des pratiques manuelles douces. On utilise ici l’acupression, la médecine chinoise et la chiropraxie.
Le kinésiologue s’intéresse ainsi en particulier à la fonction neuromusculaire et ses interactions avec le reste du corps et du mental. Il existe plus de 80 formes de kinésiologies différentes.
Pourquoi se tourner vers la kinésiologie
Très prisée par les sportifs pour l’action sur les muscles, elle peut en effet être un complément de soins dans le cas de certaines pathologies. Attention, elle ne saurait se substituer à un traitement médical. La kinésiologie est aussi très intéressante pour les troubles du sommeil, alimentaires, la gestion du stress, entre autres.
Pour trouver un bon praticien, il est possible de se renseigner auprès de la Fédération française de kinésiologie (FFK). La pratique n’étant pas reconnue officiellement par l’OMS (Organisation mondiale de la santé), il faut se méfier des possibles « charlatans » et dérives sectaires. Un praticien en kinésiologie appliquée devra avoir minimum 3 500 heures de formation à son actif.
Christelle Buffo, kinésiologue, est notre invitée. Pour la contacter moulin-samsara.fr ou escale-en-soi.fr