La biodiversité, les services publics, certaines épidémies… le monde vit au rythme des disparitions plus ou moins soudaines, plus ou moins positives, plus ou moins nécessaires. Des disparitions que deux jeunes journalistes, installés entre Marseille et Toulouse, ont décidé de chroniquer sous un format très spécial : le média épistolaire.
François de Monès, interrogé par AirZen Radio, et Annabelle Perrin lancent en ce début d’année 2022 un média baptisé La Disparition sous forme de lettres-fleuves-reportages envoyées tous les 15 jours à leurs abonnés. Des lettres rédigées à la première personne par des auteurs, des autrices et des journalistes partout en France et dans le monde, accompagnées de mots croisés, de BD et de petites fiches de présentation pour élargir le débat.
“La disparition n’est pas nécessairement négative, elle peut même être nécessaire. Et notre idée est de créer une vraie proximité avec nos lecteurs et nos lectrices, pour leur donner des clés de compréhension et d’engagement”, confie François.
La Disparition, média épistolaire, a démarré en janvier 2022 et est envoyé tous les quinze jours aux abonnés pour un prix de 11 euros par mois. Pour s'abonner, c'est ici.