Alors qu’ils déménageaient, Maxence Colin et Manon Poirot ont dû faire face à un dilemme de taille. Par manque de place dans la voiture, ils devaient choisir entre un bonsaï et un sac de vieilles baskets. C’est ainsi qu’ils se sont posés la question de la fin de vie de nos baskets.
Tous les deux passionnés par ces chaussures, ils ont réfléchi à une solution de recyclage pour éco-concevoir tout le modèle. La basket 2nde Chance a ainsi vu le jour après plusieurs années de réflexion. Tout au long du processus de fabrication, les deux Dijonnais ont tenu compte des critères environnementaux du produit et de l’impact de chaque action. Avec l’écoconception, la basket 2nde chance gagne en durabilité afin de réduire l’empreinte carbone des baskets.
Pour assurer un cycle de vie circulaire, les deux fondateurs ont également imaginé une basket consignée. Lorsque la basket atteindra sa fin de vie, il sera possible de la collecter pour la recycler. La matière récupérée pourra ensuite être réutilisée pour concevoir de nouvelles baskets.
En renvoyant gratuitement ce produit, le consommateur recevra une somme d’argent directement sur son compte en banque. Maxence veut ainsi les engager dans une démarche responsable. La basket 2nde Chance est d’ailleurs bi-matière et résulte d’une collaboration de compétences autour de la Drôme. La fabrication est 100% française et 70% des matériaux sont fabriqués en France. Toutes ces informations se retrouvent d’ailleurs sur le QR Code inscrit sur la basket. Avec cette basket 2nde Chance, Maxence et Manon prouvent que malgré les difficultés rencontrées, il est possible d’écoconcevoir des baskets françaises.