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Kolaimni : Michelle Nortier nous reconnecte à la lumière universelle

Michelle Nortier est enseignante de yoga, pratiquante de communication animale et désormais kolaimniste en Gironde, une technique de soins énergétiques venue des États-Unis, enseignée par l'Amérindienne Mechi Garza.
© Michelle Nortier
Journaliste

Michelle Nortier a toujours travaillé dans le monde médical ou dans l’enseignement. Sa première profession était celle de pédicure podologue. Elle a ensuite été assistante dentaire. Puis est restée une trentaine d’années dans l’Éducation nationale, enseignante à l’école primaire, avant de terminer sa carrière en tant que professeure des écoles. Parallèlement à cela, elle commence sa pratique de yoga quand sa fille naît, il y a 37 ans. Dix ans plus tard, elle commence à l’enseigner, d’abord dans une salle de quartier, avant d’ouvrir sa propre salle à Mérignac, près de Bordeaux, Mérignac Yoga. “Ça a été une grande aventure, grâce à de super professeurs qui m’ont entourée”, raconte-t-elle.

“Et puis, chemin faisant, ça m’a ouvert des champs de possibles absolument extraordinaires et j’ai découvert la communication animale”, autrement appelée “communication intuitive”, c’est-à-dire le fait de communiquer avec les animaux par la pensée ou l’intuition.

“Ce à quoi j’aspirais depuis très longtemps”

“J’ai toujours fait beaucoup de rêves prémonitoires qui m’ont dirigée dans ma vie et, une nuit en 2016, alors que j’avais perdu mon dernier petit chien en 2006, j’ai fait quelques rêves récurrents d’un petit chien qui m’apparaissait. J’ai fini par le trouver et c’est le chien que j’ai actuellement, Miel, et c’est grâce à lui que j’en suis arrivée à la communication animale”. Une technique dont elle n’a pas fait sa profession, mais un loisir qui lui apporte beaucoup de joie. “Si ça peut aider d’autres personnes, c’est bien, j’aime bien. Ça peut soulager, ça peut permettre de déstresser”, se réjouit-elle.

Mais c’est finalement cette expérience de communication animale qui la mène au kolaimni. Sur le site de l’instructrice qui donne les cours, Anna Evens, laquelle recommande des personnes qui pratiquent à la fois la communication intuitive et d’autres pratiques, elle découvre une énergéticienne, praticienne kolaimniste. Le terme la surprend, l’attire. “Je me suis dit, c’est quoi ce mot ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Je connaissais d’autres termes de pratiques énergétiques, mais pas celui-là”. Elle s’y intéresse, creuse, et se forme enfin chez Marie-Hélène Tourenne, en Gironde, l’une des rares instructrices françaises à ce jour. “Quand j’ai découvert ça, je me suis dit c’est bon, c’est ça ! C’est peut-être ce à quoi j’aspirais depuis longtemps, très longtemps. Et j’ai eu l’impression d’être dans un domaine que je connaissais déjà dans mes cellules, au plus profond de moi-même”.  

Se réapproprier ses capacités d’auto-guérison

Une évidence, mais aussi un besoin impérieux d’aider les autres qui l’anime depuis toute petite aussi. “Je ne supportais pas la souffrance des autres. La mienne, j’avais l’impression que je pouvais la gérer, parce qu’elle ne me semblait pas importante mais, par contre, je pouvais tomber dans les pommes à cause de la souffrance des autres. Elle m’a toujours été intolérable.” De ce fait, il lui a toujours été essentiel que chacun puisse découvrir des clés pour aller mieux, pour se sentir mieux dans son corps, dans sa tête. “En ayant moi-même découvert des clés pour aller mieux, je me disais c’est trop génial ! Il faut que tout le monde puisse comprendre qu’on peut aller mieux et que, même si la vie, parfois, n’est pas forcément un long fleuve tranquille, il est quand même possible de créer de la distance par rapport à ce qui se passe, d’être suffisamment armé et solide pour affronter ce qu’il y a à affronter.”

Le kolaimni est une pratique de soins de mieux être, une façon de reconnecter les personnes à la lumière universelle, “quelque chose qui est en nous, que l’on a naturellement, mais que parfois on a oublié. Finalement, on est juste l’interface entre cette lumière universelle et la personne, laquelle a ainsi la possibilité de se réapproprier ses possibilités d’auto-guérison, de mieux être, de relaxation, de diminution du stress”. Des protocoles très simples de massages éthériques, des petites passes courtes à environ 1,5 cm à 2 cm du corps, sans jamais le toucher. Le kolaimni peut se réaliser en présentiel ou distanciel, seul ou en groupe.

La prochaine formation de kolaimni se tiendra les 8 et 9 juillet à Mérignac yoga, en Gironde.

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