Léa Nature et ses nombreuses parties prenantes expriment les raisons de leur engagement en faveur de l’agriculture bio. De la Maison de la Bio à la fondation Terre de Lien ou au fonds de dotation Biocoop, des enseignes La Boulangère à Olga, de la Communauté d’agglomération de La Rochelle aux associations Avenir Santé Environnement ou Canton Sème, tous partagent la conviction que le bio est le modèle agricole le plus vertueux. Cela au regard de la préservation de l’environnement et de la santé. Chacun et chacune le démontre avec des impacts positifs sur la biodiversité et la qualité de l’eau.
Biodiversité et qualité de l’eau
L’agriculture bio favorise +30 % de biodiversité sur les parcelles certifiées en bio. Elle entretient des sols fertiles et vivants, aide l’absorption de l’eau de pluie et l’alimentation des nappes phréatiques. Les agences de l’eau plébiscitent l’intérêt de l’agriculture biologique, car elle permet de réduire drastiquement les coûts de traitements de l’eau potable polluée par les pesticides et engrais chimiques.
La séquestration du carbone est entretenue grâce à des rotations de cultures longues et limitant le nombre de labours. L’élevage en plein air sur des prairies permanentes fixe le carbone dans le sol. L’agriculture bio contribue aussi à la replantation de haies et d’arbres qui stockent le carbone et au renouveau du paysage.
La santé des êtres vivants
Par l’interdiction de tous les produits chimiques de synthèse, l’agriculture bio préserve la qualité de l’air et de l’eau, également des écosystèmes, et la santé des agriculteurs et des consommateurs. 88% des produits bio ne contiennent aucun résidu de pesticides. Les aliments bio présentent une meilleure qualité nutritionnelle avec des teneurs plus élevées en nutriments, antioxydants et acides gras essentiels.
La Bio est d’intérêt général. C’est la seule consommation individuelle qui profite au collectif. Cela avec de multiples effets positifs en cascade sur l’air, l’eau, les sols, la biodiversité, le vivant et la santé.