Dans une autre vie, Nicolas a été commercial, puis un jour, à plus de 40 ans, il décide de tout plaquer et de reprendre ses études pour changer radicalement de vie. Il décide de devenir détective privé.
« Il y a 10 ans de ça, peut-être un peu plus, j’avais rencontré un détective privé, explique Nicolas. Il m’avait à l’époque montré son métier, un métier un peu différent d’aujourd’hui, mais j’ai été fasciné par ce que j’ai vu et je me suis dit waouh quel métier où l’on ne fait jamais la même chose, on peut faire plein d’enquêtes différentes et puis entre guillemets fouiller un peu puisqu’on est tous un peu curieux de nature. Et 10 ans plus tard, ce métier nous est revenu en pleine tête si j’ose dire et puis je me suis renseigné pour devenir détective privé. Et me voilà devenu détective. »
Profession réglementée
Après un an d’étude de droit et des travaux pratiques de filature et de planques sur le terrain, Nicolas décroche son agrément et sa carte professionnelle, deux éléments obligatoires pour exercer ce métier tenu au secret professionnel.
Installé en Bretagne, près de Rennes, il fait désormais partie du millier de détectives privés qui exercent aujourd’hui en France. Ils étaient environ 3 000 il y a 20 ans. La profession est maintenant réglementée explique Nicolas, observée de près par le Conseil national des activités privées de sécurité – le CNAPS – qui dépend du ministère de l’Intérieur.
Pour en savoir plus sur le métier de détective privé et contacter Nicolas, vous pouvez vous rendre sur le site internet de son cabinet Ami Détective.