Alors que Véronique Gonzalez luttait contre un cancer du sein, elle a constaté qu’il existait peu de vêtements adaptés à sa situation. Les vêtements ne répondaient en effet pas aux effets secondaires de la maladie. C’est pourquoi Véronique a imaginé Les Minettes en Goguette. Avec cette marque, elle a développé des vêtements adaptés aux cicatrices et à la peau délicate et fragile.
Ces pièces s’accommodent également aux variations de poids et tentent de prévenir les crises d’eczéma. Chacune des créations de Véronique est par ailleurs écoresponsable et respecte au mieux le corps des femmes. Véronique raconte d’ailleurs essayer elle-même ses vêtements afin de les améliorer continuellement.
Aujourd’hui, Les Minettes en Goguette évolue pour s’adresser à toutes les femmes. Au cours de discussions avec des amis, Véronique a compris que les effets secondaires du cancer du sein se retrouvaient également chez d’autres femmes traversant des épisodes de vie compliqués. Motivée à aider le plus de femmes autour d’elle, elle a ainsi élargi sa gamme en proposant des vêtements qui prennent soin de tous les corps.
Selon elle, il est d’ailleurs indispensable que les pièces s’adaptent au corps et non l’inverse. Par exemple, la robe Ingrid répond aux problèmes de transpiration des femmes en pleine ménopause grâce à son tissu déperlant.
Pour faire connaître ses créations et découvrir les nouveaux besoins, Véronique s’est aujourd’hui installée au cœur du passage des Folies Bergères, à Marseille. Elle aimerait d’ailleurs faire de cette boutique un véritable lieu de vie, d’écoute et de partage.