Élie Semoun nous parle de sa rencontre avec Héloïse, du hasard, de l’espoir, du doute, des carrefours de vie, mais aussi de l’exaltation ressentie lors des prémices d’une histoire d’amour, de la passion et de la beauté des instants de bonheur vécus à deux : « J’ai la sensation qu’être à deux, c’est ça le bonheur ».
Il se confie également sur les rouages de la mécanique du désir. Il se livre notamment sur ce qui le fait craquer chez les femmes, sur la sensualité ou encore la sexualité : « J’aime le pouvoir des mots, puis il y a le pouvoir des caresses aussi, le pouvoir des baisers », « pour moi, c’est la tendresse qui est sensuelle ».
Il revient également sur la séparation, la sublimation du deuil, la création, l’écriture : « Ce livre s’est fait dans l’urgence, dans un désir de reconquête ». « J’aurais pu faire un album mais j’ai fait un roman. C’était jouissif, c’était un moment de création qui était fantastique, je n’ai jamais vécu ça. J’étais dans ma bulle, à l’intérieur de moi ».
Il s’interroge : « Un mariage finit-il forcément par un divorce ? » et évoque les bases de l’harmonie conjugale : « Je pense que le plus important dans un couple c’est l’écoute, physiquement et psychologiquement », « écouter le désir de l’autre ».