“Parfois, les gens nous décrivent comme le Doctolib de la médecine douce”, indique Solange Arnaud l’ancienne de l’école Polytechnique et fondatrice du réseau de médecines douces Médoucine.
“Nous portons une attention toute particulière à ce domaine qui est encore non réglementé. Il y a une importance capitale à référencer les praticiens, la manière dont va se dérouler la séance… C’est une médecine qui vient en complément de la médecine conventionnelle. Nous retrouverons de nombreux praticiens. Il y a plus de 400 médecines douces reconnues par l’Organisation Mondiale de la Santé. Sur notre site, nous pouvons en compter une quarantaine. Les médecins eux-mêmes peuvent être un pont entre médecine générale et médecine douce”, explique Solange Arnaud.
Sur le chemin de la médecine douce
Après les écoles prestigieuses de Polytechnique et de Paris Agro Tech et plus de vingt ans dans le domaine de la santé, Solange Arnaud a fondé Médoucine en 2016.
“C’est grâce à mon expérience dans un grand laboratoire que j’ai pu découvrir les problématiques des personnes vivant avec des maladies chroniques. J’ai créé Médoucine en 2016 avec, pour conviction, que les pratiques de santé complémentaires ou “médecines douces” ont toute leur place dans le parcours de soins et qu’il est important de développer la confiance dans ce secteur pour permettre à plus de personnes de prendre soin de leur santé au naturel”, confie la polytechnicienne.