Tout débute sur des essais effectués il y a plusieurs années sur l’homme. Des sensations ont été ressenties. Mais très vite, celles-ci ont été placées sur le compte du psychologique et pas du physique. C’est seulement plus tard que Michel Duhamel et ses associés fondent la société Génodics pour associer les plantes, la musique et les soins, après des résultats surprenants.
C’est au cœur des cellules que le phénomène majeur se déroule. Le chercheur français Joseph Sternheimer fut le premier à décrire ce phénomène. Il a découvert que les protéines, au cœur des cellules, reproduisaient un son, une mélodie, c’est ce qu’il a appelé protéodie (protéine-mélodie, NDLR). Et en reproduisant cette mélodie, nous permettons à la plante de se protéger naturellement”, explique Michel Duhamel.
Les effets de la musique démontrés sur la vigne
“Après, c’était pour lutter contre l’esca, un fléau que les viticulteurs connaissent bien”, ajoute le président de Génodics. Dans le Gers, Lili De Montal du domaine d’Arton fait partie des 130 vignerons convaincus par le procédé.
“Depuis plusieurs années, nous diffusons la mélodie de Génodics. Il n’y a pas eu de rechute avec l’esca, sauf durant un mois où l’un des appareils avait été endommagé par la grêle, il ne pouvait donc plus émettre. Et durant cette période, l’esca est revenu”, affirme Lili De Montal.