Après « Atelier d’écriture » et « J’écris ma vie pour mieux me connaitre », Laure d’Astragal publie un troisième livre : « C’est l’heure du bonheur, 9 étapes pour l’attirer vers soi » publié aux éditions Courrier du livre. Elle l’a écrit comme une boîte à outil mis à la disposition des lecteurs pour qu’ils puissent le trouver et l’entretenir.
« On a tous le pouvoir en nous d’être heureux. Pourtant, on a aussi des moments dans la vie qui nous semble difficiles. Selon moi, le développement personnel, c’est une envie d’être mieux chaque jour qui doit devenir une habitude », souligne l’auteure.
Les bienfaits de l’écriture
L’écriture joue un rôle primordial dans ce processus selon Laure d’Astragal. Dans « C’est l’heure du bonheur », il y a donc une place centrale pour ses nombreux bienfaits. « Ça permet d’exprimer ce qu’on a sur le cœur, de se dépasser, d’arrêter de chercher à l’extérieur la richesse que l’on a à l’intérieur de nous, dit-elle avec conviction. Aussi, on peut réussir à ne plus subir les influences extérieures (familiale, professionnelle… NDLR) pour se concentrer sur soi-même. Et transformer les pensées toxiques en positives. »
Si l’auteure de « C’est l’heure du bonheur » s’est prise de passion pour cet outil, c’est à la suite d’un accident grave. Écrire a en effet été pour elle un moyen de remonter la pente. Par la suite, l’enseignante de yoga est d’ailleurs devenue animatrice d’ateliers d’écriture.
Un processus de transformation
Son programme en neuf étapes s’étend sur plusieurs semaines. Il est ponctué d’exercices, de méditation. « Le cheminement vers le bonheur, ça ne se fait pas en un claquement de doigts, précise Laure. Il est nécessaire que mes lecteurs fassent des pauses, et le bilan de ce qu’ils viennent d’apprendre et d’acquérir, avant d’attaquer la suite. »
Aussi, le choix du chiffre 9 n’est pas un hasard. « En numérologie, c’est un signe notamment de perfection, associé à la connaissance de soi, un aboutissement. C’est aussi la préparation d’un nouveau-né, mais là, c’est un nouveau « moi » que l’on prépare », conclut Laure d’Astragal.