Le premier logement insolite français daterait de 1997. Il faut alors se rendre dans une région pourtant peu connue pour son tourisme : la Haute-Marne.
Direction le village de Villars-Santenoge, où un artiste décide de poser un carré rouge dans lequel on peut dormir. Au départ véritable œuvre d’art, car le carré prend une forme différente en fonction de l’endroit d’où vous le regardez, il offre également une nuit insolite.
L’impact sur l’environnement
C’est plus tard, en 1998-1999, qu’une femme décide d’installer des tipis dans son jardin. C’est là que l’idée prend, selon Adeline Lemoine, créatrice et fondatrice d’Hôtes-Insolites. Le principe est alors de proposer une aventure différente à une clientèle qui souhaite réduire son impact sur l’environnement.
Mais qu’est-ce qui définit un logement insolite ? C’est un sujet qui, même dans ce milieu, fait débat. Logement insolite, logement léger, aucune législation n’est encore bien claire sur le sujet.
Définition floue
Ce que l’on sait, c’est que le terme logement insolite a été utilisé en 2006 par la journaliste Denise Cabelli avant de devenir le nom référence. Il s’agit donc d’un endroit original, où nous pouvons dormir. Or c’est là que le bât blesse devant le nombre d’offres qui, aujourd’hui, ne coïncident pas avec le terme « insolite », explique Adeline Lenoir.
Quoi qu’il en soit, insolites ou légers, ce type d’hébergements reste très plébiscité par les Français, notamment depuis les confinements et couvre-feux successifs. Sur la plus haute marche du podium avec ou sans confort : les cabanes dans les arbres. Et vous, quel est votre logement insolite préféré ?
