N’oublions pas Violette Szabo. Guillaume Zeller, journaliste, est véritablement tombé amoureux de cette personnalité hors du commun, héroïne de guerre et sacrifiée pendant le conflit 39-45.
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Dans son ouvrage, publié aux éditions Tallandier, l’auteur raconte la vie d’une jeune femme franco-britannique au destin bouleversé par la guerre : mariée à 19 ans avec un soldat, veuve à 21 ans et mère d’une petite fille, elle s’engage auprès des services secrets – le SOE fondé par Churchill – à 22 ans à peine.
Un entraînement redoutable
Entraînée pendant plusieurs mois, elle apprend le maniement des armes ou encore l’art du poison. Elle est envoyée en mission deux fois en France, en 1944, pour affaiblir l’ennemi. Capturée par la division Das Reich – tristement connue pour le massacre d’Ordaour-sur-Glane –, elle est déportée à Ravensbrück où elle est assassinée.
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Mais pour Guillaume Zeller, Violette Szabo laissera une double trace après son départ : celle d’une femme « belle, ensorceleuse, qui s’est imposée par sa malice et sa force dans un milieu masculin », et celle d’une redoutable espionne dont l’esprit était aussi fort que son cœur enjoué et heureux.