Marie de Hennezel est psychologue et écrivaine. Elle admet avoir tous les jours avec elle ce qu’elle appelle son « cercle des invisibles ». De quoi s’agit-il ? De rêves, d’intuitions, mais aussi de personnes qui lui sont chères et qui ont disparu, auxquelles elle s’adresse lorsqu’elle a besoin de forces et de conseils.
Il ne s’agit pas là de médiumnité ou de spiritisme, mais d’une acceptation de l’invisible. Dans son ouvrage, "Vivre avec l’invisible" (éditions Robert Laffont), l’autrice ne se pose pas la question de savoir si le non visible relève de la croyance ou du paranormal, elle interroge plutôt le lien que les humains entretiennent avec le concept.
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Qu’il s’agisse d’un proche disparu, d’une superstition ou d’une petite voix dans la tête, Marie de Hennezel nous encourage à l’écouter et à ne pas s’en cacher.
Accepter l’invisible, c’est s’ouvrir aux autres
« Ce qui est important, c’est l’expérience que l’on a avec l’invisible et elle peut être différente selon les personnes », explique Nathalie Cohen, rédactrice en chef du magazine "Happinez", qui a travaillé en lien avec l’ouvrage de Marie de Hennzel dans l’édition janvier-février 2022.
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Le fait d’ouvrir la porte à cette communication avec l’invisible, « c’est ouvrir son cœur, on est dans le lien pas dans la consommation. Le fait d’être attentif aux synchronicités par exemple cela nous apporte un ancrage et la conscience qu’on est pas seul. On se relie ainsi aux autres », détaille Nathalie Cohen.
Chaque semaine, retrouvez une interview sur AirZen Radio, en lien avec les numéros à paraître d'"Équilibre","Yoga Magazine", "Happinez", "Psychologie positive" ou encore "Respire".